Marcia Baila
plein d'images et d'odeurs aussi,
Montreal avec mon lutin en construction dans mon intérieur, ma copinette, il ne faisait pas beau, alors des grands mugs de thé, les muffins aux raisins dans le grille pain et ensuite du beurre et de la confiture dessus, et puis du coloriage
et puis plus vieux encore, les samedi soirs "champs Elysées", maman qui disaient mais quelle horreur, comment peut-on être aussi moche, la dent, devant, noire, et lui, sa timidité
une journée pour la corse
le père noël et la Wi
mademoiselle lucie
Femme Fragmentée,
Féminine, vêtue de noir, un visage comme un territoire ou des sensations absentes se distillent en concept. Elle est là, c'est tout ce qu'elle fait, pas de mouvement dans son corps, seule la tête semble un peu lourde, nostalgique d'un ailleurs indécent. Seul ce caillou recraché par la mer, par un autre passé, la charge d'histoire et fait office d'oeil. Pierre de Lucie, oeil de Sainte Lucie... mademoiselle lucie
et dans ce dernier je me suis amusée à glisser un sachet d'hameçons MAJOR, les hameçons sont restés dans le sachet bien sur !
pour me contacter c'est tout simple napodajaccio@gmail.com
fermeture ?
lorsqu'un bouquiniste, une librairie, un fleuriste, un cinéma ferment, moi cela me fait quelque chose, une peur, un frisson, oui quelque chose de cet ordre là.
c'est drôle, j'ai du m'y reprendre à trois fois pour publier cette image, dans ma tête, pendant que je recliquais, je me disais "écran noir, écran noir, écran noir"
la fourmille d'idées
le train déraille
c'est une histoire de train qui déraille,
il n'y a qu'une voie, la lumière dit stop, mais on ne s'arrête pas, et le train rentre dans le train et les passagers rentrent dans les murs, rentrent les uns dans les autres, rentrent dans les fauteuils, dans le métal des fauteuils, c'est traumatisant, vraiment. un choc, une secousse, une seconde